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 Personne n'admirerait les étoiles si elles étaient à portée de main. - Nietzsche

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Elias M. Wilfred




Elias M. Wilfred









✖ job/études : Architecte
✖ messages : 90


Moi, moi et toujours moi
statut: Célibataire
pense-bête:

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MessageSujet: Personne n'admirerait les étoiles si elles étaient à portée de main. - Nietzsche   Personne n'admirerait les étoiles si elles étaient à portée de main. - Nietzsche EmptyVen 17 Juin - 16:37


“ Elias Maxime Wilfred ”
Perdre quelqu’un ça n’a rien d’anodin. Ca te rappelle en permanence que la vie ne tient qu’à un fil.
âge Ϟ26 ans date de naissance Ϟ 1er décembre 1985 lieu de naissance Ϟ Carnac nationalité Ϟ Français & Américain. situation ϞCélibataire. orientation sexuelle Ϟ Hétérosexuel métier/études Ϟ Architecte groupe Ϟ Esten célébrité Ϟ Paul Wesley

Je ressemble beaucoup à mon paternel il parait. Même physique et surtout même caractère. Je suis aussi borné et déterminé que lui. C’est vrai je l’avoue, j’ai tendance à vouloir raison, même quand j’ai tord, mais ça comme tous le monde je crois. Sauf que moi, c’est à l’extrême. La détermination, nous les Wilfred on a ça dans le sang. Aller au bout de son objectif, peu importe le prix qu’on doit payer. Quand on commence quelque chose, on le fini. Le côté militaire de mon père est bien ressorti, et du coup il m’a refilé cette niaque. Ce n’est pas plus mal, quand on a des buts dans la vie, il faut tout faire pour y arriver. Par contre, je ne suis pas aussi autoritaire que lui, il manquerait plus que ça ! Je n’aime pas donner des ordres, des conseils oui, mais jamais d’ordres.
Au niveau du physique, j’ai les mêmes yeux que lui, vert foncé. Les cheveux châtains comme lui. Par contre j’ai le sourire de ma mère et la sensibilité de ma mère. J’ose le dire, il m’est arrivé de pleurer et pas qu’une fois ! Déjà quand j’étais petit, à la mort de mon père récemment. Pour une fille… ma première petite amie, ça peut se comprendre non ? Je suis sensible, même si j’essaie de ne pas trop le montrer, et puis je préfère adopter une vie épicurienne, tout en douceur et tout dans le bonheur !
J’ai tendance à croiser les bras à chaque fois qu’on me parle où quand je sens que la discussion part en cacahuète. Un tic que j’ai pris depuis quelques années déjà.
Arriver en retard ? Ma spécialité. N’importe où, n’importe quand ! Même au travail, un jour ça va me valoir un renvoi. Mais pour le moment je gère, du moins j’essai.
Enfin je suis un vrai bordélique de première. Je laisse tout trainer n’importe où, que ça soit des fringues, ou même des objets de famille. J’espère que vous aurez la chance de ne jamais rentrer dans ma chambre… on voit plus le lit !

Carnac est ma ville de naissance, et jamais je ne pourrais l’oublier. J’ai grandis à Carnac, du moins mes premières années, après j’ai pris la direction de la Californie. Mais Carnac est toujours resté dans mon cœur. Je me souviens de l’air de jeux où je passais la plus part de mon temps. Le parc aussi, ma maison… je me souviens de presque tout. Aussi du mauvais temps, mais même en Californie il pleut… beaucoup moins je dois l’admettre, mais voilà, je suis bien heureux d’être rentré chez moi, et pour de bon !
Ah j’ai trop de rêve ! Revoir mes amis d’enfances, même si je doute qu’aujourd’hui on se reconnaitrait, quoique on ne sait jamais n’est-ce pas ? J’ai enfin atteint le métier que je voulais, alors je rêve de le garder évidemment, parce que j’aime vraiment ça. Je n’ai pas eu la chance de rencontrer de grande star, même en Amérique, alors pourquoi pas un jour ? Peut-être que je choisirais les plans d’un grand acteur français ? Quoi… faut bien rêver un peu ! Après mes rêves de gosse sont un peu inaccessible, je doute pouvoir aller dans le ciel et décrocher la lune pour ma mère. Je pense aussi que je ne montrais jamais sur le dos d’un mouton maintenant, c’est trop tard. Ah et oui, je ne rencontrerais jamais le père noël, le vrai. Des rêves de petit garçon brisé, mais tant pis, j’en ai d’autres et j’en aurais sans doute encore d’autres.



Je suis un vrai bordel


1er Décembre 1985
Le jour se lève doucement sur les côtes bretonnes. Il est un peu plus de huit heures et ça fait exactement deux heures que Madame Wilfred a donné naissance à deux magnifiques enfants, les miens ! Ici Andrew Wilfred, reporter à l’hôpital sur Carnac.
Andrew chuuut, ne les réveilles pas ! Ils sont tellement beaux. Elias te ressemble déjà…
Et Olwen sera ton portrait craché j’en suis certain, on a de magnifiques bébés ma chérie.

L’avantage avec les films, c’est qu’on a encore une trace de notre naissance, de nos premières minutes, nos premières heures et journées. C’est mon cas. Je m’appelle Elias, mon deuxième prénom est Maxime en hommage à mon grand-père. Mon nom de famille, Wilfred, le nom de mon père, un américain pur. Comment je suis né à Carnac ? Ah, ma mère est française, Catherine Lagrange. Ils se sont rencontrés lors d’un voyage aux Etats-unis, le coup de foudre un mariage trois ans après et deux naissances d’un coup un an après. Si ce n’est pas beau ça. Mon père est dans l’armée de terre, un militaire pur et dur qui risque sa vie chaque jour. Ce qui le fait tenir ? Sa famille, nous. Ma mère elle travaille pour L’unesco, le maintien de la paix, la sécurité, l’égalité, le développement humain enfin bref, encore un truc des states. Mes parents ont toujours été des gens très riches, je n’ai donc jamais manqué de rien quand j’étais jeune et j’ai eu la chance de grandir dans une très belle maison sur la côte en face des Dolmens. Je n’y ai pas vécu seul, non, avec ma sœur jumelle ( qui entre nous ne me ressemble pas du tout ). Olwen Callie Wilfred. Olwen, un prénom typiquement breton. Callie c’est le prénom de la sœur à notre père, notre tante quoi. Olwen est plus grande que moi, à deux minutes près, j’aurais bien voulu que ça soit l’inverse, mais la nature est mal faite.

1er Décembre 1991
Nos six ans, ma sœur et moi on va s’en rappeler de cette journée. Un anniversaire sans notre père. Forcément avoir un père dans l’armée n’a pas beaucoup d’avantages. Très souvent absent, on l’a très peu connu quand on y réfléchit bien. On le voyait quoi ? Deux semaines au mois de juillet et au mois d’Aout. Et après ? Une ou deux fois dans l’année, quand il était autorisé à venir voir sa famille. Mon père travaillait principalement aux Etats-Unis, on lui envoyait du courrier, mais les moments les plus importants, noël, anniversaire… et bien on déballait les cadeaux sans lui. Mais on a prit l’habitude, il y avait notre mère quand elle n’était pas parti sur Paris pour bosser. En gros on a été élevé par notre grand-mère maternelle. Elle nous adoré, et pour nous faire prendre des kilos c’était la reine. On fêtait notre anniversaire, normal quand notre mère nous a annoncé le plus sérieusement du monde qu’elle était enceinte de trois mois et qu’on déménageait aux Etats-Unis pour être plus proche de notre père. Ca été un choc, mais en même temps on était content d’avoir un petit frère ou une petite sœur. Olwen voulait une sœur, moi je voulais un petit frère pour jouer au foot, c’était bien plus passionnant. Alors on a fait les bagages et on est parti direction la Californie à San Diego. On a tout quitté, les copains, la France pour aller apprendre l’anglais. On a très vite apprit d’ailleurs, avec une mère plus que bilingue et un père américain, difficile de ne pas prendre l’accent rapidement.
Une fois arrivé là-bas, on s’y est très habitué. Etrangement, il y avait beaucoup plus de soleil qu’en Bretagne, c’était la grande classe, on allait sans doute pas regretter notre pays natal, on gagnait au change ! Mes parents ont laissé la maison qu’on avait en location, comme ça on gagnait encore plus d’argent, et on pouvait avoir encore plus de jouets, de vêtements, faire plus de sorties, partir en vacances plus souvent… l’argent pour mes parents c’est plus que vital.
Neuf mois plus tard, comme promis, un nouveau membre dans la famille. Une fois encore mon père était en mission, il n’a donc pas pu assister à la naissance de sa petite fille. Il a néanmoins choisi le prénom qu’il avait écrit sur un bout de papier avant la naissance : Leena-Opium Abbey Wilfred. Je n’ai jamais su d’où venait son deuxième prénom Abbey, personne n’a ce nom dans la famille. A sa naissance j’ai tout de suite su que ça serait une grande emmerdeuse.

17 Avril 2003
J’avais enfin passé mes dix huit ans et les boules ! En France j’aurais été majeur, mais aux Etats-Unis, je devais attendre. Quelle horreur, mais quelle horreur. Attendre, toujours attendre et pour tout, c’est nul. J’étais un petit révolté à cet âge là, je voulais toujours avoir raison même quand j’avais tord. Je voulais me montrer plus fort que mes sœurs. Leena-Opium avait 13 ans, la crise d’ado commençait aussi de son côté. Ma mère était désespéré, entre une qui ne bossait pas du tout à l’école, un fils qui n’arrêtait pas de râler, et Olwen qui passait son temps à crier après moi… y’avait de l’ambiance au moins. Plus je vivais aux Etats-Unis, moins j’avais envie d’y vivre. Bizarre ? Ouais, le soleil, la plage, les belles Californienne, ca va un temps mais ça lasse. Evidemment, j’ai appris beaucoup de choses, le surf, j’ai rencontré des gens géniaux, mais j’en avais marre tout simplement. De toute manière à dix huit ans j’en avais marre de tout. Il était bien évidemment hors de question que j’attende 21 ans, alors j’ai commencé à sortir en soirée avec des amis, mais cependant, je suis toujours resté très net au niveau scolaire. Pas un seul écart. Moi et les cours ça ne devait faire qu’un j’en sais rien, mais j’ai toujours aimé aller à l’école.
J’avais plutôt des bons rapport avec Olwen, malgré qu’elle me crie dessus. On était presque d’accord sur tout, on s’entraidait, laissant parfois Leena de côté, je l’avoue, mais on était jumeaux et ça ne remplace rien. D’ailleurs quand je repense aux paroles de mon père le jour de notre naissance, je me dis qu’il a complètement raison. Olwen était magnifique, et elle l’est toujours d’ailleurs. Mais c’était le portrait crachait de ma mère. De beaux cheveux brun, lisse et de magnifiques yeux bleus. Moi j’ai hérité d’un mixte des deux, des yeux verts comme Leena-Opium. Enfin bref, l’harmonie parfaite entre frères et sœurs et c’était déjà ça !

5 juillet 2007
Mon père était enfin chez nous. Et comme à chaque fois qu’on le voyait, on fêtait ça le plus possible. Mais ce fut la dernière fois qu’on le vit. Cette journée nous a marqué, parce que c’était la première fois qu’on le voyait s’énerver autant. Leena-Opium n’allait pas très bien et on a vite compris pourquoi. Elle nous a balancé en plein repas qu’elle était enceinte. A dix sept ans ! On en avait 23, j’avais presque fini mes études, Olwen était esthéticienne, on se débrouillait bien, et notre petite sœur nous apprenait qu’elle était enceinte. Je me souviendrais toujours de ce moment, mon père s’est levé, il a pointé son doigt vers elle et lui a demandé d’avorter. En fait ce n’était même pas une demande, c’était un ordre. Leena a cherché du soutien, Olwen était là, ma mère aussi mais moi… je n’ai rien fait, je n’ai pas bronché. En fait, j’étais même d’accord avec mon père. Ma sœur m’a traité de tous les noms et depuis ce jour elle m’en veut énormément. Mon père est repartit aussi vite qu’il était arrivé. Il est reparti dans l’armée et c’était fini.

17 juin 2011
Je suis de retour à Carnac, ma ville natale à vingt six ans. J’ai apprit la mort de mon père en Afghanistan il y a tout juste deux mois et moi et mes sœurs, on a hérité de la maison de notre enfance. On n’a pas hésité un seul instant, on a prit le premier avion et on est revenu en France. Leena ne voulait pas, mais elle ne se voyait pas rester seule à San Diego. Après cette nouvelle, ma mère est tombée dans une dépression et a fui pour aller au Mexique chez sa sœur. Elle nous a laissé seuls, avec nos seuls moyens. Evidemment, avoir un héritage comme celui de mon père, c’est plutôt bien, c’est sans doute pour ça qu’elle fait toujours autant sa fainéante aujourd’hui.
Je suis donc revenu depuis une semaine environs. Je vis avec Leena-Opium, Olwen a trouvé un appartement à quelques kilomètres de Carnac. Moi, je suis Architecte du côté de Rennes. Ce n’est pas la porte à côté, deux heures de routes chaque jour, mais je les fais tout simplement parce que j’aime ça. Et quand on aime, on ne compte pas.





pseudo Ϟ Quiquiche prénom Ϟ Cléo age Ϟ 17 ans présence ? Ϟ Normalement 7/7. comment es-tu arrivé ici ? Ϟ Par Bazar ! ce que tu penses du forum ? Ϟ Je ne regrette pas du tout, il est magnifique. J'adore la PA, j'adore la forme des catégories, un super staff, enfin bref, il déchire quoi. code ? Ϟ OK BY L.



divers crédits Ϟ gif on tumblr




Dernière édition par Elias M. Wilfred le Ven 17 Juin - 17:18, édité 6 fois
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Liam A. McKenzie




Liam A. McKenzie
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MessageSujet: Re: Personne n'admirerait les étoiles si elles étaient à portée de main. - Nietzsche   Personne n'admirerait les étoiles si elles étaient à portée de main. - Nietzsche EmptyVen 17 Juin - 16:38

Notre premier membre ! duo
Je te souhaite la bienvenue, si tu as des questions, n'hésite surtout pas. love
Bonne chance pour ta fiche. drogue
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A. Léolhia Barrow-Lennon




A. Léolhia Barrow-Lennon









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MessageSujet: Re: Personne n'admirerait les étoiles si elles étaient à portée de main. - Nietzsche   Personne n'admirerait les étoiles si elles étaient à portée de main. - Nietzsche EmptyVen 17 Juin - 16:40

biiiiiiiiiiiiienvenuuuuuue tongue

bonne chance pour ta fiche. han et, j'adore ton gif et le titre de ta pres' love
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Elias M. Wilfred




Elias M. Wilfred









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MessageSujet: Re: Personne n'admirerait les étoiles si elles étaient à portée de main. - Nietzsche   Personne n'admirerait les étoiles si elles étaient à portée de main. - Nietzsche EmptyVen 17 Juin - 16:41

Merci && Ravis d'être le premier superman
Je n'hésiterais pas à envahir vos boites Mp ^^
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Madeleine L. Rousseau




Madeleine L. Rousseau









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MessageSujet: Re: Personne n'admirerait les étoiles si elles étaient à portée de main. - Nietzsche   Personne n'admirerait les étoiles si elles étaient à portée de main. - Nietzsche EmptyVen 17 Juin - 16:42

TOI JE T'AIME DEJA ! COPINE ! tongue
Bienvenue ! Bon courage pour ta fiche !
Merci de ton inscription !
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Elias M. Wilfred




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MessageSujet: Re: Personne n'admirerait les étoiles si elles étaient à portée de main. - Nietzsche   Personne n'admirerait les étoiles si elles étaient à portée de main. - Nietzsche EmptyVen 17 Juin - 16:44

Copine de L xD On se soutien pendant cette période trèèèès difficile Personne n'admirerait les étoiles si elles étaient à portée de main. - Nietzsche 687739079

Merci ♥️
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Elias M. Wilfred




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MessageSujet: Re: Personne n'admirerait les étoiles si elles étaient à portée de main. - Nietzsche   Personne n'admirerait les étoiles si elles étaient à portée de main. - Nietzsche EmptyVen 17 Juin - 17:08

Dp : Je pense avoir fini, mais j'ai triché, j'avais écrit l'histoire à l'avance. Mais chut
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Liam A. McKenzie




Liam A. McKenzie
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MessageSujet: Re: Personne n'admirerait les étoiles si elles étaient à portée de main. - Nietzsche   Personne n'admirerait les étoiles si elles étaient à portée de main. - Nietzsche EmptyVen 17 Juin - 17:31

Tout d'abord, j'ai beaucoup aimé lire ta fiche.
Spoiler:

Personne n'admirerait les étoiles si elles étaient à portée de main. - Nietzsche 191858fichevalidation
LIGNES : OK rien à redire.
FAUTES : OK je n'en ai pas relevé mais il faut dire que je ne suis pas doué pour ça.
SENS : OK, j'aime beaucoup la manière de dérouler l'histoire. Et puis tu as un style d'écriture, tu me ressembles.
CODE DU RÈGLEMENT : OK

Inutile de te souhaiter la bienvenue, la Bretagne, toi tu connais. J'ai le plaisir de te valider, pense à aller te recenser ici puis à crée un sujet pour tes liens et tes sujets ici. Tu as maintenant accès au Flood et au RP. Amuse toi bien parmi nous.

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MessageSujet: Re: Personne n'admirerait les étoiles si elles étaient à portée de main. - Nietzsche   Personne n'admirerait les étoiles si elles étaient à portée de main. - Nietzsche Empty

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